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السمنة و الالتهاب في الجسم

السمنة هي مشكلة صحية عالمية تؤثر على ملايين الأشخاص حول العالم، وتعد من أبرز التحديات التي تواجه الصحة العامة في القرن الحادي والعشرين. تعتبر السمنة عوامل الخطر الرئيسية للعديد من الأمراض المزمنة مثل أمراض القلب والأوعية الدموية، والسكري من النوع الثاني، والسرطان، وأمراض الجهاز التنفسي، والتهاب المفاصل، بالإضافة .إلى الآثار النفسية والاجتماعية السلبية. ومع ذلك، هناك جانب آخر مهم للسمنة يتعلق بالالتهاب في الجسم

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يشير البحث العلمي إلى أن هناك ارتباطاً قوياً بين السمنة والالتهابات الداخلية في الجسم. عندما تتجاوز كمية الدهون المتراكمة في الجسم مستويات طبيعية، يبدأ الجهاز المناعي في إطلاق استجابات التهابية كجزء من محاولته للتصدي لهذه الزيادة في الدهون. ومع الوقت، يمكن أن يؤدي هذا الاستجابة الالتهابية المستمرة إلى تطور الالتهاب المزمن، والذي يعتبر عاملاً مساهماً في تطور العديد من الأمراض المزمنة مثل أمراض القلب والسكري.


هناك عدة آليات تفسر العلاقة بين السمنة والالتهاب. على سبيل المثال، تفرز الخلايا الدهنية (الأديبوسيتات) مجموعة متنوعة من السموم الالتهابية المعروفة باسم السيتوكينات. عندما تتراكم الدهون بشكل زائد، يزيد إطلاق هذه السيتوكينات، مما يؤدي إلى زيادة الالتهاب في الجسم. بالإضافة إلى ذلك، يؤدي الالتهاب المزمن إلى تغيرات في توازن الهرمونات المرتبطة بالسيطرة على الشهية والشعور بالشبع، مما قد يؤدي في النهاية إلى زيادة الوزن وتفاقم السمنة.

من الجدير بالذكر أن الحد من الالتهاب في الجسم يمكن أن يكون له تأثير إيجابي على الوزن والصحة العامة. تشير الأبحاث إلى أن بعض العناصر الغذائية مثل الأحماض الدهنية أوميغا-3 والمضادات الأكسدة يمكن أن تساعد في تقليل الالتهاب في الجسم. بالإضافة إلى ذلك، الحفاظ على نمط حياة نشط وصحي، وتجنب التدخين، والحد من التوتر، والحصول على قسط كافٍ من النوم، كلها عوامل تساهم في تقليل الالتهاب وتعزيز الصحة العامة.

في النهاية، يجب أن يكون العمل على الحد من السمنة والالتهاب جزءاً لا يتجزأ من جهود الحفاظ على الصحة والعافية الشخصية. من خلال تبني نمط حياة صحي وتغذية متوازنة، يمكن للأفراد تقليل مخاطر السمنة والالتهابات المرتبطة بها، وبالتالي تحسين جودة حياتهم وزيادة فرص العيش بحياة صحية ومستدامة.

Categories inflammation, obésité

Comprendre le lien entre l’obésité et l’inflammation : Implications pour la santé et le bien-être

L’obésité est devenue un problème de santé publique majeur à l’échelle mondiale, touchant des millions de personnes de tous âges et de tous milieux. Outre les risques accrus de maladies cardiovasculaires, de diabète de type 2 et de certains cancers, l’obésité est également étroitement liée à un état inflammatoire chronique dans le corps. Comprendre cette relation complexe entre l’obésité et l’inflammation est essentiel pour aborder efficacement ce problème de santé croissant.

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L’inflammation est une réponse naturelle du système immunitaire à une infection ou à une blessure. Cependant, chez les personnes obèses, cette réponse inflammatoire peut devenir chronique, même en l’absence d’une infection évidente. Les cellules graisseuses, ou adipocytes, produisent des cytokines pro-inflammatoires, telles que le TNF-alpha et l’IL-6, qui déclenchent et entretiennent un état inflammatoire dans tout le corps. De plus, les macrophages, qui sont des cellules immunitaires, s’accumulent dans les tissus adipeux et contribuent également à l’inflammation.

Ce cycle d’inflammation chronique peut avoir de graves répercussions sur la santé à long terme. En plus d’augmenter le risque de maladies chroniques, l’inflammation peut également contribuer à des complications telles que l’athérosclérose, la résistance à l’insuline et le dysfonctionnement endothélial. De plus, la présence d’inflammation peut rendre plus difficile la perte de poids et la gestion de l’obésité, car elle perturbe les signaux hormonaux impliqués dans la régulation de l’appétit et du métabolisme.

Il est crucial de reconnaître que l’obésité et l’inflammation sont des problèmes complexes et interdépendants qui nécessitent une approche holistique pour être abordés efficacement. Les interventions visant à réduire l’obésité, telles que l’adoption d’un mode de vie sain comprenant une alimentation équilibrée et une activité physique régulière, peuvent également aider à atténuer l’inflammation. Des études montrent que la perte de poids même modeste peut entraîner une diminution des niveaux de cytokines pro-inflammatoires et une amélioration de la santé métabolique.

En outre, des stratégies ciblant spécifiquement l’inflammation, telles que la consommation d’aliments riches en antioxydants et en acides gras oméga-3, ainsi que la réduction du stress chronique, peuvent également être bénéfiques. Des études suggèrent que certains aliments, comme les fruits et légumes colorés, les noix, les graines et les poissons gras, peuvent avoir des propriétés anti-inflammatoires et aider à réguler la réponse inflammatoire dans le corps.

En conclusion, l’obésité et l’inflammation sont étroitement liées et peuvent contribuer à un large éventail de problèmes de santé. En adoptant une approche intégrée qui combine des interventions visant à réduire l’obésité et à atténuer l’inflammation, il est possible de promouvoir la santé et le bien-être à long terme. Cependant, il est important de se rappeler que la gestion de l’obésité et de l’inflammation est un processus continu qui nécessite un engagement à long terme envers un mode de vie sain.

Categories Advice, Health

Cultiver des Habitudes d’Hygiène de Vie Positives Pendant le Ramadan

Le Ramadan, ce moment spécial de jeûne et de réflexion pour des millions de musulmans à travers le monde, offre une occasion unique de prendre soin de soi. Voici quelques astuces simples pour rester en forme et en bonne santé pendant ce mois béni :

Alimentation équilibrée : Rompre le jeûne avec 1 à 3 dattes et de l’eau est idéal pour réhydrater le corps et apporter une première dose d’énergie. Une soupe légère permet ensuite de reprendre doucement. Après un temps de repos (le temps de la prière) optez pour un dîner équilibré riche en légumes, protéines maigres, et féculents comme le riz complet ou le quinoa. Vous pouvez ensuite prendre une petite collation de nos plats traditionnels en contrôlant les quantités. Avant l’aube, un shour composé de protéines et de quelques fruits assure une énergie soutenue durant toute la journée du jeûne.

Hydratation : Pendant la nuit, assurez-vous de boire suffisamment d’eau pour compenser la déshydratation. Garder une bouteille d’eau à portée de main peut vous aider à vous rappeler de rester hydraté tout au long de la nuit. En adoptant cette habitude d’hydratation régulière, vous pouvez éviter la fatigue et les maux de tête souvent associés à la déshydratation pendant le jeûne.

Gestion du Sommeil : Accordez-vous un repos de qualité en respectant des horaires de sommeil réguliers. Créez une ambiance propice au repos dans votre chambre et évitez les écrans avant de vous coucher pour favoriser un sommeil réparateur.

Activité Physique Modérée : Restez actif avec des activités légères comme la marche ou le yoga pour stimuler votre circulation et maintenir votre souplesse, même pendant le jeûne.

En adoptant ces habitudes simples mais efficaces, vous pouvez vivre un Ramadan rempli de bien-être et de vitalité, tout en respectant les traditions religieuses qui lui sont associées.

Categories Pediatric Nutrition

2nd Pediatric Nutrition Conference: “Emerging Insights into Nutrition in Pediatric Metabolic Diseases”February 21st & 22nd, 2024

Qatar University – Doha, Qatar

College of Education (I10) 3rd floor, Conference Hall “Auditorium” C306

Key Topics and Discussions

Area 1: Diet-Induced Metabolic Diseases in the Pediatric population: Prevention and Management.

The area of pediatric nutrition to prevent and treat diseases related to diet will cover a broad range of interventions and approaches addressing:

  1. Nutritional deficiencies including protein-energy malnutrition, iron-deficiencies, vitamin D deficiency, and iodine deficiency.
  2. Obesity and weight management including developing and implementing dietary and lifestyle modification programs to prevent or treat obesity in children and adolescents.
  3. Food allergies and intolerances including diagnosing and managing food allergies and intolerances in infants and children, including providing education and guidance on alternative sources of nutrients.
  4. Chronic diseases related to diet, including developing and implementing dietary and lifestyle modification programs to address diabetes, cardiovascular diseases, liver and kidneys diseases, some cancers, among others.

Area 2: Behavioral and Inborn Metabolic Disorders in the Pediatric population: Screening and Management

The area of screening and management of behavioral and inborn metabolic diseases among pediatric patients will include a range of interventions and strategies addressing:

  1. Disordered eating, including identifying and treating in the pediatric population picky-eating disorders, anorexia nervosa, bulimia nervosa, orthorexia and binge eating disorder.
  2. Behavioral and developmental disorders, including identifying and addressing dietary and lifestyle factors that may contribute to behavioral and developmental disorders in children, such as attention deficit hyperactivity disorder (ADHD) or autism spectrum disorder.
  3. Inborn errors of Metabolism, including the multidisciplinary specialized medical care comprising dietary modifications, medications, enzyme replacement therapies, gene therapies, and supportive care for patients and families.
Categories Advice, Health

Boostez votre immunité cet hiver grâce à une alimentation saine

L’hiver est souvent synonyme de rhumes, grippes et autres infections désagréables. Cependant, il existe des moyens naturels de renforcer votre système immunitaire et de vous protéger contre ces maux de saison. Une alimentation équilibrée et riche en nutriments peut jouer un rôle essentiel dans le renforcement de votre immunité.

Découvrez comment choisir les bons aliments pour garder votre système immunitaire au top de sa forme.

Le système immunitaire : un gardien vigilant de votre santé

Le système immunitaire est le bouclier naturel du corps contre les infections, les maladies et les agents pathogènes. Il est composé d’un réseau complexe d’organes, de cellules et de protéines qui travaillent ensemble pour défendre le corps contre les attaques extérieures. Un système immunitaire fort est essentiel pour maintenir une santé optimale, surtout pendant la saison hivernale.

1. Les agrumes pour la vitamine C

Les agrumes tels que les oranges, les pamplemousses et les citrons sont riches en vitamine C, un nutriment essentiel pour renforcer le système immunitaire. La vitamine C stimule la production de globules blancs, qui sont les cellules responsables de la défense immunitaire. Intégrez ces fruits délicieux dans votre alimentation quotidienne pour bénéficier de leurs bienfaits.

2. Le poisson gras pour la vitamine D

Les poissons gras tels que le saumon, le maquereau, les sardines, le thon, sont particulièrement riches en cette vitamine D. Cette vitamine est essentielle pour la régulation des réponses immunitaires et aide à maintenir des os forts. Incorporer dans votre alimentation du poisson gras au moins une fois par semaine et choisissant les plus petits. Pour compléter vos sources, n’oubliez pas de consacrer du temps à l’exposition au soleil, même si les contraintes du travail en intérieur et les conditions météorologiques ne facilitent pas toujours cette pratique !

3. L’ail pour ses propriétés antibactériennes

L’ail est bien connu pour ses propriétés antibactériennes et antivirales. Ajoutez de l’ail frais à vos plats pour renforcer votre système immunitaire.

4. Les yaourts probiotiques pour la santé intestinale

Une grande partie de notre système immunitaire est liée à la santé de notre intestin. Les yaourts probiotiques, riches en bonnes bactéries, favorisent une digestion saine et renforcent la barrière intestinale. Choisissez des yaourts naturels non sucrés pour obtenir le maximum de bénéfices pour votre immunité.

5. Les fruits secs pour les antioxydants

Les fruits secs tels que les noix, les amandes et les noisettes sont riches en antioxydants, qui aident à protéger les cellules contre les dommages causés par les radicaux libres. Les antioxydants peuvent jouer un rôle clé dans le renforcement du système immunitaire en prévenant les maladies et infections.

Conclusion : Une alimentation équilibrée pour une immunité optimale

En conclusion, une alimentation équilibrée comprenant une variété de fruits, légumes, grains entiers, protéines maigres et graisses saines peut grandement contribuer à renforcer votre système immunitaire pendant la saison hivernale. N’oubliez pas de rester hydraté, de pratiquer une activité physique régulière et de maintenir de bonnes habitudes de sommeil pour un système immunitaire optimal. Prenez soin de vous cet hiver et donnez à votre corps les nutriments dont il a besoin pour rester en pleine forme.

Categories Nutrition Enfant

المؤتمر الثاني لتغذية الأطفال

يسعدنا أن نبلغكم ان المؤتمر الثاني لتغذية الأطفال، والذي يركز على “مفاهيم مستجدة في دور التغذية بأمراض التمثيل الغذائي لدى الأطفال “، مفتوح الآن بشكل رسمي. ويُعد هذا المؤتمر المرموق فرصة مميزة ومجدية، حيث من المقرر أن يعقد في الفترة من 21 و 22 فبراير 2024، وسيكون منصة للخبراء البارزين والباحثين والمحترفين في مجال التغذية الطبية للأطفال من مختلف أنحاء العالم للتبادل والتعاون.

https://lnkd.in/ez-ReQKv

Categories Diabète

Diabète et alimentation : les nutriments

Le diabète est une maladie évolutive qui impose une alimentation équilibrée au quotidien.

Quel que soit votre diabète, la prise en charge diététique permet d’assurer un apport nutritionnel adapté, de corriger vos habitudes alimentaires et de réduire si besoin la surcharge pondérale.

En plus des surveillances glycémiques régulières, quelles sont les mesures alimentaires à adopter après un test positif de provocation d’hyperglycémie ? Dans la partie suivante nous allons nous concentrer sur les conseils alimentaires importants dans ce contexte.

Les nutriments et l’alimentation

Il s’agit d’une alimentation équilibrée, avec un apport glucidique adapté, qui contribue à maîtriser les taux de glucose (la glycémie) dans le sang. Essayez d’organiser votre journée afin de ne pas rester trop longtemps sans manger. (par exemple: 3 repas + éventuellement 1 collation l’après-midi). Les différents aliments apportent à l’organisme des substances indispensables à son bon fonctionnement : les nutriments. Il s’agit de l’eau, des protéines, des glucides, des lipides, des fibres, des minéraux et des vitamines.

Une alimentation équilibrée apporte tous les nutriments nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme.

Faisons le point sur les nutriments indispensables et les points d’attention quand on est diabétique.

1. Les nutriments sans effets sur la glycémie

L’eau

Le corps est composé essentiellement d’eau qui permet d’éliminer les déchets (sueur, urine), de régler la température corporelle (transpiration) et de transporter des substances dans le corps. L’apport journalier recommandé en eau est de 1,5 à 2 litres d’eau. Les aliments fournisseurs : l’eau minérale, le thé, les infusions, le café, les soupes, etc.

Les protéines

Les protéines peuvent être comparées aux briques qui permettent de construire une maison. En effet, les protéines servent de fondations à la construction et à la croissance du corps.

Les légumes secs, issus de la culture de légumineuses : pois cassés, pois chiches, petits pois, haricots, lentilles, soja, fèves, etc. Les protéines d’origine animale ont une composition en acides aminés essentiels (que le corps ne peut pas synthétiser) plus intéressante que les protéines d’origine végétale.

Les lipides

Les lipides sont une source importante d’énergie et les aliments qui en contiennent peuvent être très caloriques. Mais, à côté de cet apport plus élevé en calories, favorise l’absorption et l’utilisation au sein de l’organisme, qui sont importantes notamment pour la vision, la construction des os, le renforcement du système immunitaire et la coagulation sanguine. Tout comme pour les protéines, on distingue les lipides d’origine animale et les lipides d’origine végétale.

Dans le cadre d’une alimentation saine et équilibrée, on privilégiera les lipides d’origine végétale (huiles) afin d’assurer un apport optimal en acides gras polyinsaturés et en acides gras essentiels (oméga-3 et oméga-6) qui sont indispensables au bon développement du système nerveux et du cerveau ainsi que pour renforcer le système immunitaire.

Les aliments fournisseurs :

  • Huiles
  • Fruits oléagineux (noix, noisettes, noix de cajou, amandes, pistaches,…)
  • Beurres

2. Les nutriments protecteurs

Minéraux et vitamines

Même en faibles quantités, les sels minéraux, les oligo-éléments et les vitamines sont indispensables pour assurer différentes fonctions dans l’organisme (bon état des os, bon fonctionnement du système nerveux, formation des globules rouges, renforcement du système immunitaire…). Ils n’apportent pas d’énergie. Une alimentation variée vous permet d’assurer les apports recommandés en sels minéraux et en vitamines.

L’eau, les protéines, les lipides, les vitamines et les minéraux n’ont pas d’influence directe sur la glycémie. En revanche les nutriments suivants vont attirer notre attention sur le fait qu’ils influencent la glycémie.

3. Les nutriments avec effet sur la glycémie

Les glucides

Les glucides ou « hydrates de carbone » sont les sucres contenus dans l’alimentation. Ils influencent directement la glycémie et représentent la source d’énergie principale pour le
corps humain. Ils nous aident à bouger, à courir, à réfléchir… Les glucides sont indispensables à la vie, d’où l’importance de bien les choisir.

Les glucides sont une très grande famille qu’on peut classer en 2 sous-groupes :

  • Sucres simples : souvent reconnaissables à leur goût sucré, comme :
GlucoseDans les sirops
SaccharoseLe sucre blanc que l’on utilise en cuisine (ou le sucre brun)
FructoseDans les fruits et les produits pour diabétiques
LactoseDans les produits laitiers : n’a qu’un effet minime sur la glycémie
  • Sucres complexes : sans goût sucré, comme :
L’amidonDans les céréales, pommes de terre, pâtes, riz, légumineuses
les fibres alimentairesnon digérés par l’organisme humain, se trouvent en abondance dans les graines complètes, les fruits, les légumes et légumineuses

Il ne faut donc pas se fier au goût sucré pour déterminer si un aliment contient des glucides ou non.

Les aliments contenant de l’amidon (exemple : pain complet, pâtes, riz, pommes de terre,…), sont des fournisseurs plus lents d’énergie et sur une période plus longue, que les aliments contenant des sucres simples (exemple : sucreries).

Quelques sources de glucides (simples et complexes) :

Les sucreries (A éviter):

  • Bonbons
  • Chocolat
  • Biscuits, etc.

Lait et produits laitiers sucrés :

  • Yaourt aux fruits
  • Riz au lait et autres desserts lactés
  • Puddings

Les féculents :

  • Pâtes
  • Riz
  • Farine et produits qui en dérivent (pain, biscuits, pâte à pizza,…)
  • Céréales et dérivés (semoule de blé, couscous, maïs, flocons d’avoine, muesli, cornflakes,…)
  • Pommes de terre
  • Légumineuses

Les fruits :

La meilleure manière de manger un fruit, c’est de le consommer cru/frais (pièce ou salade de fruits). Ils peuvent également être consommés cuits (en compote ou une salade de fruits en conserve) sans sucre ajouté.

Attention : Selon si le fruit est frais, cuit ou préssé, les conséquences sur la glycémie ne seront pas les mêmes.

Les légumes :

Les légumes contiennent très peu de glucides, et n’ont donc pas d’influence sur la glycémie ; avec quelques exceptions près (les petits pois, les betteraves rouges et les carottes cuites). Variez la consommation de légumes cuits (accompagnement de viande, soupes, gratins, soufflés), crus (salade, crudités) ou sous forme de jus.

En cas de diabète : Il est important de connaître les aliments contenant des glucides, parce qu’ils influencent directement la glycémie et nécessitent de l’insuline pour que les glucides soient absorbés par le corps.

source : https://acteurdemasante.lu/

Categories Advice, Cancer, cancer du sein, Octobre rose

Le cancer du sein est classé au premier rang au Maroc

Le cancer du sein est classé au premier rang au Maroc, avec 20% de tous les cancers diagnostiqués chez les deux sexes, et il est considéré comme le plus répandu chez les femmes, représentant 35,8% de tous les cancers chez les femmes. Environ 8 000 nouveaux cas de cancer sont enregistrés chaque année. Le dépistage précoce permet un taux élevé de guérison de la maladie et contribue également à réduire le fardeau du traitement et ses effets secondaires graves.

​Si l’alimentation, la pratique d’une activité physique régulière et un mode de vie plus sain sont déterminants pour réduire les risques de cancer du sein, la mammographie reste le moyen le plus fiable de le dépister.

Changer votre relation avec l’alimentation et que le but de ce changement est de créer un changement de mode de vie, et non de perdre du poids temporairement avec un régime.  Ci-dessous quelques conseils diététiques pour une meilleure prévention contre le cancer du sein :

  • Privilégiez l’allaitement : il pourrait jouer un rôle dans la prévention du cancer du sein, en fait plus vous allaitez longtemps, plus l’effet protecteur est important.
  • En cas d’obésité, adopter un mode de vie sain et réduire le poids de manière saine. De nombreuses études épidémiologiques ont démontré que la surcharge pondérale est un facteur de risque majeur de cancer du sein. 
  • Promouvoir l’activité physique : elle peut vous aider à diminuer ou à maintenir un indice de masse corporelle dans les normes, un facteur pouvant limiter le risque de cancer du sein. Pour la plupart des adultes en bonne santé, il est recommandé au moins 2,5 heures d’activité aérobique modérée par semaine.
  • Mettre les légumes et les fruits au centre de son alimentation car ils sont riches en vitamines, minéraux et antioxydants
  • Privilégier les céréales complètes et légumineuses
  • Limiter la consommation des viandes rouges (350–500g/semaine) en préviligiant un mode de cuisson doux
  • Eviter la consommation des charcuteries (<150g/semaine)
  • Boire au moins 8-10 verres d’eau par jour

En plus :

  • Limiter les aliments riches en sucre ajouté
  • Choisir des huiles et des pâtes à tartiner insaturées et les utiliser en petites quantités.
  • Éviter de manger souvent des aliments riches en sel ou en gras.
  • Réduire les aliments transformés
Categories Cancer, cancer du sein, Health, Octobre rose

Prévention du cancer du sein : quel est le rôle de l’alimentation ?

Cela ne fait désormais plus de doute, notre alimentation joue un rôle important sur notre santé de manière générale. Qu’en est-il de son impact sur la survenue du cancer du sein ? 

On a peu de certitudes concernant les liens entre cancer du sein et alimentation. Mais on sait qu’un régime de type méditerranéen (riche en fruits, légumes, bonnes matières grasses) est préférable à un de type nord-américain (plus riche en sucres et en graisses saturées)”, Dr Espié, responsable du sénopole à l’hôpital Saint Louis à Paris 

C’est plus le type d’alimentation qui est à prendre en compte, une assiette est une alchimie. Il est recommandé d’éviter ce qui va concourir à l’obésité, au syndrome métabolique, ou encore au diabète. On privilégie un régime modérément calorique, riche en légumes, en fibres, en flavonoïdes et en bons acides gras”, poursuit le spécialiste. 

On évite les graisses cuites, on essaie de manger sainement et varié et de pratiquer une activité physique régulière. C’est surtout le poids qui rentre en jeu, l’obésité constitue un facteur de risque, car les graisses accumulées constituent un réservoir d’hormones et donc il y a une perturbation hormonale”, ajoute le Dr Nasrine Callet, gynécologue et oncologue à l’Institut Curie. 

Les aliments qui réduisent les risques de cancer 

Aliments riches en fibres 

Les aliments riches en fibres sont plutôt protecteurs. Ils permettent d’éliminer plus facilement certains lipides“, explique le Dr Espié.

De son côté, l’Institut National du Cancer rappelle qu’une “alimentation riche en fibres peut exercer divers effets : 

  • Réduction de l’hyperinsulinisme ; 
  • De l’insulinorésistance ; 
  • Des concentrations d’hormones stéroïdiennes circulantes ; 
  • Du temps de transit intestinal ; 
  • De l’exposition du côlon aux cancérogènes présents dans la lumière colique. 

Au niveau colique, sous l’action du microbiote, les fibres sont aussi à l’origine de la production d’acides gras à chaîne courte dotés de propriétés anti-inflammatoires et antiprolifératives”. Si la consommation de fibres est surtout associée à une réduction du risque de cancer colorectal, elle a un rôle dans la régulation pondérale. Or, le poids est un facteur de risque de nombreux cancers, dont le cancer du sein. 

La perte de poids, bénéfique contre le cancer 

Des chercheurs de l’American Cancer Society ont décidé de mener une étude pour voir si le fait de perdre du poids pouvait réduire le risque de cancer du sein après 50 ans.

L’équipe a analysé les résultats d’une dizaine d’études comprenant 180.885 femmes au total, âgées de 50 ans et plus, qui ne prenaient pas de traitements hormonaux. Lors de ces études, le poids des participantes était évalué environ trois fois sur une période de dix années : lorsqu’elles ont démarré l’étude, puis cinq ans plus tard et quatre années par la suite.

Leurs résultats, publiés en décembre 2019 dans le Journal of the National Cancer Institute, ont montré que les femmes qui maintenaient une perte de poids stable au cours des dix années enregistraient un risque plus faible de cancer du sein par rapport à celles dont le poids était resté stable.

Ils ont précisé que plus la perte de poids continue était importante, plus le risque de cancer du sein baissait. Ainsi, celles qui perdaient entre 2 et 4,5 kg voyaient leur risque baisser de 13%, celles qui perdaient entre 4,5 et 9 kg réduisaient leur risque de cancer du sein de 16% en comparaison avec les femmes dont le poids n’avait pas varié. Les participantes qui perdaient 9 kg ou plus voyaient leur risque reculer de 26%.

Les chercheurs ont par ailleurs trouvé que les femmes qui avaient perdu au moins 9 kg mais qui en avaient repris quelques-uns gardaient un risque abaissé du même cancer.

Jusqu’à cette dernière méta-analyse, les scientifiques ne pouvaient pas assurer que la perte de poids abaissait le risque de cancer du sein, mais ces nouvelles conclusions sont les premières à comprendre un échantillon de participantes aussi important.

Source : https://www.doctissimo.fr/

Categories Health, Nutrition Enfant, Sommet Jordanie, Workshop

المشاركة في الاجتماع الإقليمي للمنظمة العالمية للصحة بين البلدان لجهات التنسيق المعنية بالتغذية

سعدت بتمثيل المغرب في الاجتماع المشترك بين البلدان لجهات التنسيق المعنية بالتغذية والذي ينظمه المكتب الإقليمي لمنظمة الصحة العالمية لشرق المتوسط. وانعقد الاجتماع في الفترة من 19 إلى 21 سبتمبر 2023 في عمان، الأردن، تحت رعاية صاحبة السمو الملكي الأميرة صالحة بنت عاصم. وحضر الاجتماع ممثلون عن جميع الدول الأعضاء في المنطقة، إلى جانب أعضاء من الأوساط الأكاديمية ووكالات الأمم المتحدة والمنظمات الدولية. كان اجتماع ناحج بامتياز حيث تم مناقشة أهم القضايا المتعلقة بالتغذية، وقد تم إطلاق قاعدة بيانات التركيب الغذائي لإقليم شرق المتوسط، بالإضافة إلى قصص النجاح والتحديات الأخرى، وتحديد احتياجات الدعم القطري، ومناقشة أولويات البحث، وفرص التعاون بين البلدان. كما وقد تم التعرف على نخبة من الزملاء الذين نفتخر بهم. عرضي كان عن النجاحات في البحوث في التغذية في المغرب من خلال استعمال التقنيات الذرية متمثلة في أبحاث Regional Designated Center of Nutrition AFRA/IAEA Ibn Tofail University- CNESTEN أتقدم بخالص الشكر و الامتنان لأستاذي الفاضل الدكتور حسن أكناو @aguenaou.hassan على إتاحة فرصة المشاركة و مساعدته و ثقته. الحمد لله رب العالمين